LE CAUCHEMAR
La fille tue la mère en naissant. Les ombres des mères reviennent tuer les enfants. C’est ça la vie. » Avec une rage sourde qui excède les normes auxquelles la société assujettit ceux qui la composent, une femme envoie promener les tabous. Elle survit sur le trottoir et répond comme dans un procès à un interrogatoire. Son doux nom d’Eglantine contraste avec la violence de ses propos. Elle n’est que révolte et affirmation de sa liberté face à sa condition d’être humain vivant, fille d’un père et d’une mère. Elle-même est mère d’une fille. C’est une reine de tragédie – c’est une intouchable du monde moderne.
Auteur | Jean-Michel RABEUX |
Mise en scène | Jean-Michel RABEUX |
Assistante à la mise en scène | Sophie LAGIER |
Eclairages | Jean-Claude FONKENEL |
Coproduction | Théâtre de la Bastille |
Durée | 1h10 |
Interprétation |
Claude DEGLIAME
Eugène DURIF Vimala PONS %tr> |
du 5 au 7 novembre 2009 - Villeneuve d'Ascq : La Rose des Vents, Scène nationale Lille-Métropole
du 17 septembre au 17 octobre 2009 - Paris : Théâtre de la Bastille