CAP AU PIRE
Un homme s’enfonce dans une forêt des mots. Il sait qu’il ne trouvera jamais celui qui est juste mais il essaie. Encore. Il essaie toujours. Il sait qu’il va tomber mais il se relève. Il essaie malgré les mots qui trahissent. Les mots sont au bord du vide. Il les rattrape. A moins que ce ne soit eux qui le rattrapent. Les mots le font se tenir debout. Encore. Les mots le font tomber. Les mots l’effacent.
| Auteur | Samuel BECKETT |
| Traduction | Edith FOURNIER |
| Mise en scène | Jacques OSINSKI |
| Scénographie | Christophe OUVRARD |
| Eclairages | Catherine VERHEYDE |
| Costumes | Hélène KRITIKOS |
| Création | Compagnie L’Aurore boréale |
| Coproduction | Les Déchargeurs / Le Pôle diffusion |
| Coréalisation | Athénée Théâtre Louis-Jouvet |
| Date de création | le 6 juillet 2017 au Théâtre des Halles dans le cadre du Festival d'Avignon Off (France) |
| Interprétation |
Denis LAVANT
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2017 |
PAROLES UNIQUES, MÉLANCOLIES PARTAGÉES. Patrick Timsit à l'Atelier avec Le Livre de ma mère, d'Albert Cohen, Denis Lavant à l'Athénée avec Cap au pire, de Samuel Beckett, touchent l'universel. Plus d'infos... |