FIGARO !

Se réappropriant la trame narrative des deux pièces (et la satire politique et sociale qui déchaîna la censure au 18ème siècle) ; y appliquant une langue, certes simplifiée, mais respectueuse de la musicalité et de la sensualité des mots de Beaumarchais ; n’hésitant pas à mâtiner les références à l’auteur d’autres plus proprement musicales (Rossini et Mozart participent ici de la fête), les comédiens de Comp. Marius invitent le spectateur, comme à de vraies noces, à la célébration de l’amour qui unira le Comte Almaviva à Rosine, puis Figaro à Suzanne.